La décision de l’Autorité de la concurrence couvre en fait deux points. D’un côté, la question de la vente liée de plusieurs services, qui se rapproche à une autre échelle des pratiques pour lesquelles Microsoft a plusieurs fois été épinglée par la Justice, aussi bien aux Etats-Unis qu’en Europe, constitue l’essentiel de l’amende infligée à Doctolib (4 615 000 euros pour cette infraction). La deuxième concerne le rachat de Doctolib en 2018, présentée comme un moyen de neutraliser son principal concurrent. Et celle-ci pose question sur un marché à fortes externalités de réseau...
https://youtube.com/shorts/3I7HYO0c6RI
